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17 novembre 2013 7 17 /11 /novembre /2013 00:56

Galerie d’Art CHEZ MOI, CHEZ TOI - 9 rue Gauthier - Nîmes Gambetta 

 

 

 

 

Dîner musical mensuel : 

 

Plats et musiques des Antilles 

 

Samedi 30 novembre 2013 de 19 H 30 à … ?

 

 

 

 

plages       Piments antillais   

 

 

 

 

 

PAF 10 €  -  places limitées  -  réservation absolument  nécessaire au 04 66 21 07 31,

 

infos@chezmoicheztoi.net  et / ou sur la page  www.chezmoicheztoi.net

 

 

 

           Nous serons ravis de vous recevoir !

 

Asgeir Andersen,    Marie-Claude Tacquin pour la cuisine,   Jutta Jahn

 

 

 

 Merci à Robert Roudil pour les CDs !

 

 

 

pavillons_antilles

 

 

Les Antilles sont un vaste archipel situé dans la mer des Caraïbes. L'archipel forme un arc de cercle de 3 500 km de long, s'étendant depuis Cuba jusqu'au large du Venezuela. Elles représentent 235 830 km2 de terre émergée, pour 42 millions d'habitants.

Origine du nom                                                                                                                                

Première carte scientifique mentionnant les Antilles au pluriel (Alberto Cantino, 1502, visible à Ferrare).

Le nom viendrait du portugais « ante-ilhas », qui signifierait « les îles d'avant » (le continent). Il évoque le grec άντι qui désigne l'opposé (du monde) et est dérivé du latin Antillia, une île fantôme située à l'ouest de l'Espagne. Une des premières mentions de cette île, soit qu'elle traduisit des théories aristotéliciennes de l'Imago Mundi sur l'équilibre de la terre semblables à celle de la Terra Australis soit qu'elle fixât des ouï-dires de pêcheurs portugais, basques ou bretons, figure sur la carte de Zuane Pizzigano en 1424. Cette carte et les suivantes sont éditées dans le cadre du programme d'exploration, telle l'expédition de Diogo de Teive en 1452, initié par Henri le Navigateur à la suite de l'invention par les pêcheurs portugais de la caravelle, premier modèle de navire véritablement hauturier. Le progrès technique a nourri la légende, laquelle a motivé et précédé la découverte. C'est ainsi que le 25 septembre 1492, dix neuf jours après avoir quitté La Gomera, son dernier port, et seize jours avant d'apercevoir les lueurs de San Salvador, Christophe Colomb cherchait vainement à l'horizon l'Antille que sa carte lui indiquait.

Géographie

Les Antilles s'insèrent dans un vaste ensemble dont les limites ne sont pas clairement définies : l'espace Caraïbe.

De la même façon, les limites des Antilles peuvent varier, selon les acceptions, de l'ensemble des îles tropicales du côté atlantique de l'Amérique au strict arc antillais.

Au sein des Antilles, on peut distinguer :

 

 

·         les Petites Antilles                                                                                                          Elles sont constituées d'un chapelet de petites îles d'origine volcanique ou calcaire qui s'étendent en arc de cercle depuis les îles Vierges à l'est de Porto Rico jusqu'à la Grenade au sud. Puis cet alignement s'incurve vers l'ouest jusqu'à l'île d'Aruba. De cette façon, on peut distinguer au sein des Petites Antilles :

·         les Îles Sous-le-Vent (qui s'étendent le long des côtes de l'Amérique du Sud)

·         les Îles du Vent (qui délimitent la mer des Caraïbes de l'océan Atlantique)


·         les Grandes Antilles                                                                                                                   Elles incluent les quatre îles

       de Cuba, la Jamaïque, Hispaniola (Haïti et la République dominicaine) et Porto Rico. Elles représentent à elles  

       seules les neuf dixièmes de la superficie et de la population totale des Antilles.

 

auxquelles s'ajoutent généralement :

les Caraïbes du Nord qui incluent les Keys (Floride), Bahamas et les Îles Turques-et-Caïques.

 

 

Histoire

Découvertes par Christophe Colomb, les Antilles, où vivent alors les Caraïbes, sont d'abord occupées par les Espagnols (Saint-Domingue, Porto Rico, Cuba, Jamaïque). Puis les Anglais s'installent au nord des Petites Antilles vers 1620, à la Jamaïque en 1655 ; les Hollandais à Curaçao, Bonaire et Aruba entre 1620 et 1640 ; les Français à la Guadeloupe et à la Martinique en 1635, tandis que des boucaniers d'origine française envahissent peu après la partie occidentale de Saint-Domingue. L'exploitation, dominée par le sucre, des îles non espagnoles commence réellement dans la seconde moitié du xviie siècle.

Le xixe siècle est une période de crises : Saint-Domingue connaît une guerre sociale qui aboutit à l'indépendance d'Haïti en 1804. Par suite de la crise du sucre de canne, concurrencé en Europe par le sucre de betterave, et de l'abolition de l'esclavage, de nouveaux moyens de mise en valeur sont recherchés : concentration, industrialisation, engagement de travailleurs venus des Indes orientales.

La révolte cubaine contre l'Espagne et la guerre qui oppose les États-Unis à l'Espagne en 1898 modifient profondément la situation des Antilles, qui passent sous l'influence américaine. Un nouvel essor sucrier se poursuit jusqu'à la crise de 1929. La période récente est marquée, d'une part, par un fort courant indépendantiste, qui s'est déjà concrétisé par l'accession à l'indépendance de plusieurs colonies, Trinité-et-Tobago, Jamaïque (1962), Barbade (1966), Bahamas (1973), Grenade (1974), Dominique (1978), Sainte-Lucie et Saint-Vincent-et-les-Grenadines(1979), Antigua-et-Barbuda (1981), Saint-Kitts-et-Nevis (1983) et, d'autre part, par la révolution castriste de 1959.                    

Photos et textes trouvés sur Internet

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8 août 2013 4 08 /08 /août /2013 12:31

 

 

Soirée très spéciale : 

 

 

21.9.2013 - LEONARD COHEN 

 

 

Leonard-Cohen-Berlin-5.9.12--photo-Volker-Wolpert.jpg

 

 Concert à Berlin, 5 septembre 2012, copyright © photo : Volker Wolpert Berlin


 

Dîner musical mensuel, exceptionnellement même dansante,

à l’occasion du 79ème anniversaire de

l’idole de ma jeunesse et de vieillesse :

samedi 21 september 2013 de 19 H 30 à … ? 

 

PAF 8 €  -  places limitées  -  réservation absolument  nécessaire au  04 66 21 07 31,

 

asgeir-andersen@hotmail.fr  et / ou  www.chezmoicheztoi.net

 

Ravie de vous y revoir après la pause d'été !


Jutta Jahn 

 

 

 

 

Nom 

Leonard Norman Cohen

Naissance 

21 septembre 1934
Montréal, Québec

Activité principale 

Poète, romancier, auteur-compositeur-interprète

Genre musical 

Folk, rock

Instruments 

Guitare acoustique

Années actives 

1967 - présent

Labels 

Columbia

Site officiel 

LeonardCohen.com

 

 

Leonard Norman Cohen, né le 21 septembre 1934 à Montréal (Québec), est un poète, romancier et auteur-compositeur-interprète canadien. Son premier recueil de poésies paraît à Montréal en 1956 et son premier roman en 1963.

Les premières chansons de Cohen (principalement celles de Songs of Leonard Cohen, 1967) sont ancrées dans la musique folk, et chantées avec une voix grave. Dans les années 1970, ses influences se multiplient : musique pop, de cabaret, et du monde. Depuis les années 1980, Cohen chante accompagné de synthétiseurs et de choristes.

Dans tous ses travaux, Cohen reprend souvent les mêmes thèmes : l'amour-passion, la religion, la solitude, la sexualité et la complexité des relations interpersonnelles. Leonard Cohen assume sa dépression chronique depuis longtemps, et ne se l'est jamais caché, ni ne l'a jamais caché, allant jusqu'à en parler aux journalistes rassemblés à l'occasion de la conférence de presse pour parler de son album, Old Ideas.

La poésie et les chansons de Cohen ont influencé beaucoup d'autres auteurs-compositeurs-interprètes, et on compte à l'heure actuelle plus de 1 500 reprises de ses chansons. Cohen est introduit au Panthéon de la musique canadienne en 1991, au Panthéon des Auteurs et Compositeurs canadiens en 2006, au Rock and Roll Hall of Fame en 2008. Il est un Compagnon de l'Ordre du Canada (CC) depuis 2003, la plus haute distinction civile canadienne.

L'année 2008 marque son retour sur scène. Son œuvre poétique est récompensée par le Prix Prince des Asturies des Lettres 2011.


                Pour en savoir plus :

                https://fr.wikipedia.org/wiki/Leonard_Cohen et http://www.leonardcohen.com/us/home

 

 

DAVIDS_Cohen-17.7.13-Berlin.jpg

 

 Concert à Berlin, 17 juillet 2013, copyright © photo : David ... (ami de Volker Wolpert Berlin)

 

 

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17 avril 2013 3 17 /04 /avril /2013 19:38

 

SI VOUS ETIEZ UN LIVRE… ?


 Récit à l'occasion de la performance " Bibliothèque " de Fanny de Chaillé le

19, 20 et 21 avril au Carré d'Art et au Musée de l'Histoire Naturelle de Nîmes

 

Texte du " livre " Jutta Jahn : 

 

LA VIE EN RÊVE

 

1. Question au " lecteur " : Bonjour ! Est-ce que vous avez ou aviez un rêve pour votre vie ?

2. Réponse du " lecteur " : …

3. Petite discussion là-dessus,

     avec l’objectif d’encourager la personne en face à réaliser son rêve à elle !

 4. Entrée en la matière du " livre " :    

 

 

Dans Berlin Ouest des années 1950/60, mon " destin " aurait dû être celui d’une jeune fille

avec un père maître ébéniste, une mère comptable, deux sœurs, deux grand-mères, des

chiens, des chats, des poules et un jardin autour de la maison et de l’atelier. Bien élevée

selon les valeurs RESPECT, SINCÉRITÉ, SOLIDARITÉ, j’ai eu un fiancé, j’aurais occupé

un poste dans un bureau, me serais mariée et devenue mère de famille.

Mais à l’âge de 12, 14, 16 ans, j’ai écouté, lu et vu des artistes, philosophes, écrivains,

acteurs français et, malgré mon enfance heureuse, je savais que je ne voulais pas d’enfants

mais faire autre chose de ma vie. J’avais un rêve qui s’appelait " Vivre en France ! ".

 

PASSÉ 

Ce rêve était basé sur la pratique et l’envie d’écrire, d’abord des poèmes, puisés dans la vie

de tous les jours, que je devais appeler beaucoup plus tard POESIE PRATIQUE, mais aussi

des journaux intimes qui traitaient de ma vie : l’art, l’amour et le travail, et qui me servaient

parfois comme textes thérapeutiques, puis des nouvelles, des articles. C’est-à-dire, je croyais,

sans m’en rendre compte, en ma créativité, en mon potentiel, ma capacité de créer des choses

– comme en celle de chaque enfant, chaque femme, chaque homme – et j’agissais intuitivement

selon cette croyance.


Puis, j’ai dû rentrer dans la vie professionnelle " normale ", donc, dans un bureau car ma mère

m’avait dit : si tu sais taper à la machine, tu auras toujours de quoi manger : "Kannst du tippen,

hast du Essen !" J’ai quitté le premier fiancé, en ai trouvé d’autres, les ai quittés, fus quittée à

mon tour, pris mon premier appartement, ai rencontré d’autres personnes et ai vécu mes années

Hippie en communauté à la campagne près d’Hanovre. J’ai voyagé, ai effectué pendant des

années des métiers très différents, découvert d’autres horizons, d’autres domaines intéressants,

même fascinants, et me suis, petit à petit, de plus en plus approchée des arts dont je m’étais

forgée une opinion et définition toute personnelle et minimaliste : une œuvre d’art, c’est quelque

chose qui n’était pas là avant ! Cela veut dire avant sa création, bien sûr. Par conséquent,

chaque action dont émane quelque chose de nouveau peut être considérée comme artistique

parce que créative : faire un gâteau, élever un enfant, jardiner, arranger une pièce, prendre des

photos, inventer, bricoler, chanter, danser… Seulement, tout cela n’est pas reconnu socialement

en tant qu’acte créatif – donc artistique ! -, ni par la société, les gouvernements, ni par nous-mêmes !

Et un artiste reste un pauvre bougre qui a du mal à gagner sa vie – tant pis pour lui ! M…ince alors !

NON ! Tout cela me révoltait et je crois toujours qu’il y a d’autre manières plus justes à traiter de l’art

- les caisses de guerre sont pleines, celle de la culture vide !!! - et les artistes qui assument leur

responsabilité sociale : maintenir en vie LE RÊVE et le réaliser !

 

Ainsi j’avais renoué avec ma vieille conviction du potentiel créatif en chacune et chacun et, toujours

en autodidacte et à côté de mes travaux salariés, je me suis exercée à m’exprimer en d’autres

secteurs artistiques puisque l’écriture ne me suffisait plus : peinture, dessin, sculpture, installation

d’espace, décoration, mise en scène, photographie. J’avais remarqué que la création était un besoin

de base que je devais satisfaire avec mes outils à moi : mes SENS ! Mes yeux, mon nez, mes oreilles,

ma bouche, ma peau – tout mon corps me sert comme outil pour le travail de satisfaire ce besoin de créer

quelque chose – de préférence quelque chose de beau et d’utile en même temps…

 

En traversant mes décennies, j’ai vu de temps en temps une espèce de petit " clignotant " qui

m’indiquait toujours l’Art et la France – soit sous forme d’une rencontre, soit en tant que thème, livre,

tableau, film… Les journaux intimes d’Anaïs Nin, p. ex., qui avait vécu, elle aussi, son art et son rêve.

Puis venait, plus terre à terre, le travail comme cuisinière dans un restaurant français à Hanovre,

LA PROVENCE, l’art culinaire…

Puis comme décoratrice de théâtre, la participation à un groupe de galeristes en échange avec

l’association française Peuple et Culture, la rencontre des Français, l’envie de reprendre les études

de la langue française qui devaient préparer mon immigration au pays de mon vieux rêve de jeunesse…

Après maints détours utiles, à l’âge déjà un peu mûr de 43 ans, mais grâce à la ferme conviction que

" tout est possible avec un peu de courage, même avec très peu d’argent ! ", je l’ai enfin réalisé et il

s’était précisé : LIRE – ÉCRIRE – TRADUIRE en France !

 

PRÉSENT 

Aujourd’hui, cela fait 20 ans que je vis mon rêve à plein temps, en toute sérénité et, surtout,

en véritable authenticité. J’ai lu des tonnes de livres de tout genre en allemand, français et anglais et

ai développé et réalisé même quelques petits " sous-rêves " – des projets dont je ne m’étais pas crue

capable dans ma jeunesse comme l’enseignement de ma langue maternelle aux Français (ci-inclus

la rédaction d’une PETITE METHODE … DE LA LANGUE ALLEMANDE), de nombreuses traductions

techniques et littéraires, la production de plusieurs recueils de poèmes bilingues, la rédaction d’un

roman (SANS TITRE, une histoire d’amour possible) et d’un essai philosophique, intitulé

DANS LE BROUILLARD DU NON-RESPECT qui a comme thèse le fruit de mes expériences :

" Faites de l’art et pas la guerre ! ".

Et aussi la création et le maintien du JARDIN, un terrain où se trouvent mon atelier et l’exposition

permanente d’OBJETS SONORES ET INSONORES, faits avec mes " moyens de bord ", puis

plusieurs expositions dans des galeries et des représentations d’une pièce de danse sur la musique

d’Erik Satie, nommée BLANC, ainsi que des lectures publiques de mes textes…

 

Depuis quatre ans, je suis à la retraite, ma vie en France me plaît toujours, j’ai des travaux en cours,

p. ex. la traduction en prose poétique des FLEURS DU MAL de Charles Baudelaire – pour que les

jeunes allemands de nos jours puissent comprendre et apprécier la beauté et la profondeur de cette

poésie – ainsi que celle d’une très belle et toujours actuelle histoire pour enfants de George Sand,

LES AILES DU COURAGE.

 

FUTUR

Je travaille comme traductrice-organisatrice pour une petite galerie d’Art à Nîmes,

CHEZ MOI, CHEZ TOI, j’ai encore des rêves – réalisables ! – à poursuivre, des livres à lire,

à écrire, à traduire, à publier, des œuvres à créer, des expositions à organiser, des expériences

à partager, des voyages à faire, des personnes à rencontrer, des choses à découvrir et à apprendre

– ça n’arrête jamais ! D’ailleurs, je compte beaucoup sur l’aide de l’Univers dont je suis très

reconnaissante de m’avoir déjà soutenue plusieurs fois dans ma VIE EN RÊVE !

 

5. Questions du " lecteur "

6. Petite discussion, puis

7. Salutations et FIN.

 

13.3.2013, JJ

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5 novembre 2012 1 05 /11 /novembre /2012 11:46

   

 

Siehe weiter unten...                      Veuillez voir plus bas...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


DER  TAGESSATZ                                       -                          LA  PHRASE  DU JOUR

   

Heute zum Thema                                                                Aujourd’hui au sujet de

"Unmögliches möglich gemacht"                        " rendu possible l’impossible "

 

 

 

                                                                        Hummel-Gesummel

 

 


" D’un point de vue purement aérodynamique,

le bourdon ne devrait pas être capable de voler.

Mais il ne le sait pas, alors il vole quand même. "

 

Vom aerodynamischen Standpunkt aus gesehen,

dürfte die Hummel nicht fliegen können.

Da sie das aber nicht weiss, tut sie es trotzdem.

 

   

Schönen Tag / Bonne journée

 

Jutta Jahn

 


 

  Mary Kay Ash in : Matin Magique, 5.11.2012, © photo+trad. : JJ

 

 

 

 

 

 


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23 juin 2011 4 23 /06 /juin /2011 02:22

 

 

 

 

 

"MODE D'EMPLOI" 

 

Cliquez sur link 1 + link 2 pour pouvoir écouter,

reduisez-le,

puis rouvrez cette page-ci

et allez plus bas, plus bas

pour voir...

 

 

 

 

"GEBRAUCHSANWEISUNG"

 

Klicken Sie auf link 1 + link 2, um hören zu können,

verkleinern Sie ihn,

kehren Sie dann auf diese Seite zurück

und gehen Sie tiefer und tiefer,

um zu sehen...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  Terre,  Mer,  Ciel.  

 

 Il  n'y  a  rien  d'autre

 

 à  en  ajouter.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  Erde,  Meer,  Himmel.

 

  Da  gibt  es  nichts  Anderes

 

  hinzuzufügen.

 

 

 

 

     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    LA MER-copie-1

 

 

 

 

           

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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